Voilà je me présente : 
Mon prénom : Jean-Loïc (prénom composé, moitié Franc, moitié Celte).

né le 6 Mai 1944, ( 1 mois avant le débarquement allié ), d’un père médecin et d’une mère à cette époque secrétaire ; ce qui me fait dire que je me sent un peu pour quelque chose dans la libération de la France.

Signe du zodiaque : TAUREAU ascendant POISSON.

Une soeur et un frère plus jeunes respectivement de 4 et 9 ans.

Une prime enfance vécue en Franche Contée, puis dans le Bordelais.

Une jeunesse heureuse et insouciante de jeune colon en Algérie puis au Maroc.

Une adolescence ( de blouson doré ) en banlieue est de Paris où j'ai vécus j'usqu'à la retraite, malgré une interruption de 10 ans en région Marseillaise, absence due à un second mariage suivi d’ un second divorce; puis retour à la case départ avec ma première épouse et , en sus, deux gosses de mes deuxièmes épousailles.

Ajoutez à cela une entrée en informatique ( Gros Systèmes ), comme on peu entrer dans les ordres, le 1er avril 1971 (ce n'était pas un poisson), et depuis : ordinateur, ordinateur (c’est une passion, et en plus elle paie).

Mes autres passions, mis à par mon job : éclectiques ! ! !

Elles ont varié au cours des ans, se sont atténuées, et même taries.

Elle ont été celles de tout à chacun, et leur ordre d’ arrivée est le suivant :

    1. Les bécanes,
    2. Les nanas,
    3. Les caisses.
Elles ont toutes passé, et leur ordre de départ est le suivant :
    1. Les caisses (il faut dire que c’est devenu d’un commun),
    2. Les nanas (à mon âge il faut être sérieux et puis j'ai une femme que j'aime, alors…),
    3. Les bécanes (c’est aussi fini), j'ai vendu ma K1200RS une poignée de haricots en 2005 .
Pour tout cela il faut dire que j’ai la chance d’avoir connu une époque ou la vitesse sur route était libre, le radar et le ballon inconnu, ne cherchez pas à me faire dire que je roulais bourré, j’ai eue quelques accidents, certes, mais jamais sous une emprise alcoolique.

Par contre pour les nanas c’était autre chose que maintenant, on pouvais toucher mais ça s’arrêtait là, ou gare, à l’époque pas de SIDA mais pas non plus de pilules, et l’amour sous Cellophane… Alors si on voulait vraiment, il fallait oser prendre des risques, et hélas, j’en ai pris.

Les bécanes, ah! les bécanes, quoi de plus agréable pour aller gagner sa croûte, que de voir quelque soit la saison, des millions de gusses coincés dans leur tire, que l’on double allègrement, mais en restant prudent, et qui seront encore dans les embouteillages quand je serai en train de prendre mon café au bureau, rien que pour cela on oublie le froid et la pluie des hivers parisiens, et on connaît tous la longueur de ces hivers.

Voilà vous savez tout de moi, ou du moins ce tout ce qu’il y a à en savoir …